André GACHE
Phil CHARTRON
Geneviève LIAUTARD
Valérie FOURNON
Jean SIOUI
Joëlle BASSO
Alain HELISSEN
Geneviève BERTRAND
Paljor NGODUP
Alain JEGOU
Béatrice MACHET
Jean-Louis BERNARD
David MOUGERET
André NICOLAS
Patrick WERSTINK
Werner LAMBERSY
Ludovic CHAPTAL
LISKA
Morgan RIET
Olivier MILLOT
Jean-François LATASTE
Michel L'HOSTIS
Gérard LEMAIRE
François Xavier MAIGRE
André CHENET
DESSINS / Lambert SAVIGNEUX et Françoise SERREAU
LE TEMPS Du POÈTE par J.P LESIEUR
Ce numéro est un peu particulier une grande première partie jusqu’à la page 38 a été rassemblée par Béatrice MACHET qui a sollicité des textes et dessins de ses amis et amène une autre manière dans la revue. Béatrice a réagi à ma demande de prendre en charge un numéro, elle m’a envoyé 38 pages. Je me suis occupé des autres.
J’ai beaucoup de textes reçus en attente ce qui retarde un peu le temps de publication, mais ne vous inquiétez pas ça viendra.
Comme d’habitude, ce n’est plus un scoop il y a eu quelques coquilles dans le numéro précédent. Dans le texte de Vinau, me signale Alain Surre sans plus de précision et la fin du poème L’arène de l’instant de Patricia Laranco a été coupée. « L'arène de l'instant /où quelquefois, /l'on croit /être, avec lui, l'objet /d'un grand regard / qui plonge ! ». J’y ajoute dans le genre Le Cure- pipe à la place du Cure-dent dans l’article sur Claude Vercey et la méprise sur le prix Aliénor pour Albarède, ce n’est pas Résurgence qui a eu le prix mais Fulgurante résine. Je vois bien là ma répugnance aux prix en général que je partage avec le cinéaste Jean-Pierre Mocky, dont j’ai entendu un interrogatoire sur Inter. Ouf, il va me falloir bientôt toute la première page pour signaler mes coquilles pas Saint Jacques.
Je ne cite pas les revues dans lesquelles ont déjà publié les poètes que je mets dans la revue, de peur d’en oublier et de me faire des ennemies. ( souvent on oublie de citer Comme en poésie alors que je fus un des premiers à les publier). Je ne cite pas non plus leurs activités professionnelles, qu’est-ce que cela apporte de savoir qu’ils sont fondés de pouvoir ou péripatéticiennes?
Connaître les œuvres qu’ils ont déjà publiées ne sert pas non plus à grand-chose car on les trouve dans peu de librairies voir aucune et qu’il n’y a pas ou peu de diffuseur, d’autant qu’on peut aller sur Internet pour se renseigner, parfois.
Pour être dans l’air du temps, j’ai mis sur fesse book un groupe Comme en poésie sur lequel vous pouvez venir discuter.
Depuis peu de temps et par hasard, j’écris pour le théâtre. J’ai mis les textes dans un livre Porte ouverte… ou rouge, que vous pouvez vous procurer en supplément à la revue (10 euros) dans
lequel j’ai mélangé sketchs et poèmes sur le thème des portes. Le spectacle a été joué dans le superbe théâtre de Soustons par la troupe Toutazimut et est prêt à voyager dans la région si on
trouve des salles.
Ah, oui, j’ajouterai que j’ai quitté l’association des amis du tour du lac à Hossegor parce que son président s’occupait beaucoup trop du passé, à mon goût et faisait du compte d’auteur pour lequel je n’ai pas une passion particulière, entre autres.
Bon automne et bonne lecture de ma petite revue qui ne tombe pas encore comme une feuille de frêne ou de hêtre